Il y a d’abord la force du titre, Le Roman inépuisable, qui semble particulièrement adapté à l’énergie déployée depuis des années par Philippe Le Guillou, écrivain et passeur, comme l’un de ses derniers ouvrages le laisse entendre[1], investie dans la défense d’un genre dont on annonce la fin depuis les années 1930. L’idée du titre viendrait d’une lecture forte, celle du Roman du roman de Jacques Laurent, qui lui donne son sous-titre. Le projet prend la forme d’un héritage : « À mon tour je rêve le roman...
Une autobiographie indirecte
Article publié dans le n°1232 (16 janv. 2021) de Quinzaines
Le Roman inépuisable
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