Le monde marche et nous marchons avec lui. Et avec nous, marchent tous ceux qui nous font être, bons et mauvais, Abel et Caïn, tous ceux dont les voix nous guident et nous susurrent : « je marche en toi ». Voici sans doute la leçon d’un roman complexe aux allures de fable, celle qui nous invite à la charité et au recueillement, à l’acceptation de notre plus belle part d’humanité, à nous « dépouiller de soi-même » et faire de l’autre « un frère en fraternité ».
C’est dans l’aventure de la charité que nous entraîne le soliloque de Merel, guide touristique...
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