Face à la douleur de vivre, au vertige de n’être plus, qui semble parfois si désirable, à la tentation de se défaire du poids du monde, de ses contingences, ne demeurent souvent que d’étranges formes d’amour, des morceaux de rêves qui jaillissent de quelques mots qui résistent au temps. Il y a dans L’Apocalypse des travailleurs quelque chose qui relève de la fuite, de la nécessité de n’être pas, de se vouloir ailleurs, plus libre, détaché en quelque sorte du réel.
Ainsi, Maria da Graça, femme de ménage de son état, semble errer dans le vide de sa vie, « seule et viva...
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