Du temps, il en faut, disions-nous, pour rédiger ses souvenirs, et il apparaît que, si les malfrats placés sous les verrous de la République en disposent, et pas qu’un peu lorsque « la rousse » les a « logés » puis « poissés », ils ne sont pas pour autant, ces repris de justice, tueurs, dépeceurs, surineurs, voleurs de toutes catégories (bonjouriers, vanterniers, rats d’hôtel, casseurs, braqueurs, etc.), escrocs, proxénètes et autres professionnels de ces spécialités mal promues par l’Éducation nationale, les plus productifs en matière de littérature. Timour...
22, les revoilà !
Article publié dans le n°1159 (16 oct. 2016) de Quinzaines
Souvenirs de police : la France des faits divers et du crime vue par des policiers (1800-1939)
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